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If I understand the machine GoogleEnglish translation, it appears troops have been asked to move a hand-made wooden cross from a hill at Ghundy Ghar to a corner inside FOB Wilson to avoid offending Afghans.
If I'm wrong on this (in translation or fact), please straighten me out. Shared with the usual disclaimer - original French below....
No accommodation for our soldiers fell in battle
Fabrice De Pierrebourg, Le Journal de Montréal, 01 Nov 07
GoogleEnglish translation
The monument erected on the hill of Ghundy Ghar, even where died on August 22 the Corporal Duchesne and Warrant Officer Mercier, has been moved to a military base out of sight so as not to offend Afghans .
"I am very disappointed. It is still a kind of reasonable accommodation, "says Yvon Ardouin, the father of Mario Mercier, in an interview in the Journal.
Cut to the chainsaw, the cross was installed on September 4 by the Canadian military Reconnaissance platoon of infantry. Plaques were wearing the description: "In memory of Adjm Mercier and CPLC Duchesne-We will remain. "
Preventive Removal
Less than a month later, the monument was gone, moved into a corner of the Patrol Base Wilson (PBW), several kilometers away.
A preventative move, not in response to pressure Afghan claimed the side of the Canadian Forces.
"We decided to reduce the cross with the troupe, Company B," so that it is among his own, "explained the captain Catherine Larose, public affairs officer of the Task Force.
Not here
"In addition, the cross is a sign Catholic Religious and we do not particularly want to give the impression to impose our religion to the Afghan people. We take seriously religious differences, and we want to respect the Muslim religion. We are not c h e z us ... "
Even on the basis Wilson, the cross was planted "so that it is not on the outside."
The captain wants to be reassuring. No matter forget the sacrifice of its soldiers killed in combat in Afghanistan.
Improvised Monument
"The cross of our comrades missing, she says, is our central memorial. We placed in front of the command post of company B, so that we see every day. If the company were to move B, the cross follow. It would then probably left on the basis of Massum'Ghar or in the main camp in Kandahar. "
The monument had been planted improvised roadside winding up the hill to Ghundy Ghar, in the district of Zhari, miles from Kandahar.
The team CBC
It was at that specific location that on August 22 last year, to 18 hours 20, a powerful explosive device had sprayed the craft armored took place in which the two victims and journalists of Radio Patrice Roy and Charles Dubois.
Grièvement injured, had to be amputated below the right knee. An Afghan interpreter was also killed in that explosion.
Pas d'accommodement pour nos militaires tombés au combat
Fabrice De Pierrebourg, Journal de Montréal, 01/11/2007 06:56
French article link
Le monument érigé sur la colline de Ghundy Ghar, là même où sont morts le 22 août le caporal-chef Duchesne et l'adjudant-maître Mercier, a été déménagé dans une base militaire à l'abri des regards pour ne pas choquer les Afghans.
«Je suis très déçu. C'est encore une sorte d'accommodement raisonnable», estime Yvon Ardouin, le beau-père de Mario Mercier, en entrevue au Journal.
Taillée à la tronçonneuse, la croix avait été installée le 4 septembre par des militaires canadiens du peloton de Reconnaissance d'infanterie. Des plaques portaient les mentions: «En mémoire de Adjm Mercier et CPLC Duchesne - Nous resterons.»
Déménagement préventif
Moins d'un mois plus tard, le monument avait disparu, déménagé dans un coin de la Base de patrouille Wilson (PBW), à plusieurs kilomètres de là.
Un déménagement préventif et non pas à la suite de pressions afghanes, affirme-t-on du côté des Forces canadiennes.
«Nous avons décidé de ramener la croix au sein de la troupe, la compagnie B, afin qu'elle soit «parmi les siens»», a expliqué la capitaine Catherine Larose, officier d'affaires publiques du Groupement tactique.
Pas chez nous
«De plus, la croix est un signe religieux catholique et nous ne voulions surtout pas donner l'impression d'imposer notre religion au peuple afghan. Nous prenons au sérieux les différences religieuses et nous voulons respecter la religion musulmane. Nous ne sommes pas c h e z nous...»
Même sur la base Wilson, la croix a été plantée «de façon à ce qu'elle ne soit pas vue de l'extérieur».
La capitaine se veut rassurante. Pas question d'oublier le sacrifice de ses soldats morts au combat en Afghanistan.
Monument improvisé
«La croix de nos camarades disparus, dit-elle, est notre monument central. Nous l'avons placée en face du poste de commandement de la compagnie B, de sorte que nous la voyons tous les jours. Si la compagnie B devait déménager, la croix suivrait. Elle serait ensuite probablement laissée sur la base de Massum'Ghar ou dans le camp principal de Kandahar.»
Ce monument improvisé avait été planté au bord du chemin qui serpente jusqu'au sommet de la colline de Ghundy Ghar, dans le district de Zhari, à une quarantaine de kilomètres de Kandahar.
L'équipe de Radio-Canada
C'est à cet endroit précis que le 22 août dernier, vers 18 heures 20, un puissant engin explosif artisanal a pulvérisé le blindé dans lequel prenaient place les deux victimes ainsi que les journalistes de Radio-Canada Patrice Roy et Charles Dubois.
Grièvement blessé, ce dernier a dû être amputé en dessous du genou droit. Un interprète afghan a également péri lors de cette explosion.
If I'm wrong on this (in translation or fact), please straighten me out. Shared with the usual disclaimer - original French below....
No accommodation for our soldiers fell in battle
Fabrice De Pierrebourg, Le Journal de Montréal, 01 Nov 07
GoogleEnglish translation
The monument erected on the hill of Ghundy Ghar, even where died on August 22 the Corporal Duchesne and Warrant Officer Mercier, has been moved to a military base out of sight so as not to offend Afghans .
"I am very disappointed. It is still a kind of reasonable accommodation, "says Yvon Ardouin, the father of Mario Mercier, in an interview in the Journal.
Cut to the chainsaw, the cross was installed on September 4 by the Canadian military Reconnaissance platoon of infantry. Plaques were wearing the description: "In memory of Adjm Mercier and CPLC Duchesne-We will remain. "
Preventive Removal
Less than a month later, the monument was gone, moved into a corner of the Patrol Base Wilson (PBW), several kilometers away.
A preventative move, not in response to pressure Afghan claimed the side of the Canadian Forces.
"We decided to reduce the cross with the troupe, Company B," so that it is among his own, "explained the captain Catherine Larose, public affairs officer of the Task Force.
Not here
"In addition, the cross is a sign Catholic Religious and we do not particularly want to give the impression to impose our religion to the Afghan people. We take seriously religious differences, and we want to respect the Muslim religion. We are not c h e z us ... "
Even on the basis Wilson, the cross was planted "so that it is not on the outside."
The captain wants to be reassuring. No matter forget the sacrifice of its soldiers killed in combat in Afghanistan.
Improvised Monument
"The cross of our comrades missing, she says, is our central memorial. We placed in front of the command post of company B, so that we see every day. If the company were to move B, the cross follow. It would then probably left on the basis of Massum'Ghar or in the main camp in Kandahar. "
The monument had been planted improvised roadside winding up the hill to Ghundy Ghar, in the district of Zhari, miles from Kandahar.
The team CBC
It was at that specific location that on August 22 last year, to 18 hours 20, a powerful explosive device had sprayed the craft armored took place in which the two victims and journalists of Radio Patrice Roy and Charles Dubois.
Grièvement injured, had to be amputated below the right knee. An Afghan interpreter was also killed in that explosion.
Pas d'accommodement pour nos militaires tombés au combat
Fabrice De Pierrebourg, Journal de Montréal, 01/11/2007 06:56
French article link
Le monument érigé sur la colline de Ghundy Ghar, là même où sont morts le 22 août le caporal-chef Duchesne et l'adjudant-maître Mercier, a été déménagé dans une base militaire à l'abri des regards pour ne pas choquer les Afghans.
«Je suis très déçu. C'est encore une sorte d'accommodement raisonnable», estime Yvon Ardouin, le beau-père de Mario Mercier, en entrevue au Journal.
Taillée à la tronçonneuse, la croix avait été installée le 4 septembre par des militaires canadiens du peloton de Reconnaissance d'infanterie. Des plaques portaient les mentions: «En mémoire de Adjm Mercier et CPLC Duchesne - Nous resterons.»
Déménagement préventif
Moins d'un mois plus tard, le monument avait disparu, déménagé dans un coin de la Base de patrouille Wilson (PBW), à plusieurs kilomètres de là.
Un déménagement préventif et non pas à la suite de pressions afghanes, affirme-t-on du côté des Forces canadiennes.
«Nous avons décidé de ramener la croix au sein de la troupe, la compagnie B, afin qu'elle soit «parmi les siens»», a expliqué la capitaine Catherine Larose, officier d'affaires publiques du Groupement tactique.
Pas chez nous
«De plus, la croix est un signe religieux catholique et nous ne voulions surtout pas donner l'impression d'imposer notre religion au peuple afghan. Nous prenons au sérieux les différences religieuses et nous voulons respecter la religion musulmane. Nous ne sommes pas c h e z nous...»
Même sur la base Wilson, la croix a été plantée «de façon à ce qu'elle ne soit pas vue de l'extérieur».
La capitaine se veut rassurante. Pas question d'oublier le sacrifice de ses soldats morts au combat en Afghanistan.
Monument improvisé
«La croix de nos camarades disparus, dit-elle, est notre monument central. Nous l'avons placée en face du poste de commandement de la compagnie B, de sorte que nous la voyons tous les jours. Si la compagnie B devait déménager, la croix suivrait. Elle serait ensuite probablement laissée sur la base de Massum'Ghar ou dans le camp principal de Kandahar.»
Ce monument improvisé avait été planté au bord du chemin qui serpente jusqu'au sommet de la colline de Ghundy Ghar, dans le district de Zhari, à une quarantaine de kilomètres de Kandahar.
L'équipe de Radio-Canada
C'est à cet endroit précis que le 22 août dernier, vers 18 heures 20, un puissant engin explosif artisanal a pulvérisé le blindé dans lequel prenaient place les deux victimes ainsi que les journalistes de Radio-Canada Patrice Roy et Charles Dubois.
Grièvement blessé, ce dernier a dû être amputé en dessous du genou droit. Un interprète afghan a également péri lors de cette explosion.
