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Radio-canada: http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2006/12/21/002-Somalie-guerre.shtml
La situation sécuritaire somalienne devient de plus en plus complexe, et ce, alors que les forces islamistes au pouvoir à Mogadiscio ont encore une fois affronté les troupes du gouvernement de transition et des soldats éthiopiens à proximité de Baïdoa.
Ces affrontements qui durent depuis maintenant trois jours, décrits par les islamistes comme de simples escarmouches, auraient fait plus de 100 morts.
Et ces combats n'ont pas empêché le principal dirigeant islamiste, Hassan Dahir Aweys, de tendre la main vers le gouvernement de transition qu'il appelle à joindre une « guerre sainte » contre l'Éthiopie qu'il ne cesse d'appeler depuis plusieurs semaines.
L'ennui, c'est que l'Éthiopie, grâce à ses quelques « conseillers militaires » (dans les faits, des milliers de soldats ), permet au gouvernement de transition de faire face aux puissantes forces islamistes. La plupart des observateurs estiment que sans son allié éthiopien, le gouvernement de transition n'aurait fort probablement pu résister bien longtemps à des tribunaux islamiques appuyés en secret par de nombreux pays musulmans de la région.
Pour sa part, un diplomate européen de passage dans la région a affirmé que les représentants islamistes et ceux du gouvernement de transition comptaient reprendre dès que possible les pourparlers de paix.
La situation sécuritaire somalienne devient de plus en plus complexe, et ce, alors que les forces islamistes au pouvoir à Mogadiscio ont encore une fois affronté les troupes du gouvernement de transition et des soldats éthiopiens à proximité de Baïdoa.
Ces affrontements qui durent depuis maintenant trois jours, décrits par les islamistes comme de simples escarmouches, auraient fait plus de 100 morts.
Et ces combats n'ont pas empêché le principal dirigeant islamiste, Hassan Dahir Aweys, de tendre la main vers le gouvernement de transition qu'il appelle à joindre une « guerre sainte » contre l'Éthiopie qu'il ne cesse d'appeler depuis plusieurs semaines.
L'ennui, c'est que l'Éthiopie, grâce à ses quelques « conseillers militaires » (dans les faits, des milliers de soldats ), permet au gouvernement de transition de faire face aux puissantes forces islamistes. La plupart des observateurs estiment que sans son allié éthiopien, le gouvernement de transition n'aurait fort probablement pu résister bien longtemps à des tribunaux islamiques appuyés en secret par de nombreux pays musulmans de la région.
Pour sa part, un diplomate européen de passage dans la région a affirmé que les représentants islamistes et ceux du gouvernement de transition comptaient reprendre dès que possible les pourparlers de paix.
