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LCN: http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national/archives/2007/01/20070108-145318.html
Le premier soldat québécois à être blessé en Afghanistan récupère à la maison familiale à Roxton Pond, en Estrie.
Frédéric Couture a perdu un pied lors de l'explosion d'une mine antipersonnel. L'accident est survenu le 16 décembre dernier alors qu'il se rendait à Pachmoul avec quatre collègues du Royal 22e Régiment de Valcartier.
Leur mission consistait à aider les militaires de l'armée afghane à prendre contact avec le chef de ce village.
Même s’il a perdu un pied, il ne regrette pas d’être allé en mission en Afghanistan. «Je suis vraiment fier d’être allé là avec mes chums et d’avoir aidé le peuple afghan», dit Frédéric Couture.
«Le peuple québécois ne comprend pas ce qu’on fait là-bas, ils ne comprennent pas car ils ne savent pas pourquoi on est là. On est là pour aider le peuple afghan et repousser les talibans. Les femmes ne sont pas acceptées dans les écoles, on essaie de changer ça. Le seul moyen de financement qu'ont les Afghans, c'est avec la drogue; l'opium et la marijuana. On essaie de changer ce mode de financement», poursuit-il.
Malgré ce qui lui est arrivé, Frédéric Couture retournerait en Afghanistan «sans hésitation».
Le premier soldat québécois à être blessé en Afghanistan récupère à la maison familiale à Roxton Pond, en Estrie.
Frédéric Couture a perdu un pied lors de l'explosion d'une mine antipersonnel. L'accident est survenu le 16 décembre dernier alors qu'il se rendait à Pachmoul avec quatre collègues du Royal 22e Régiment de Valcartier.
Leur mission consistait à aider les militaires de l'armée afghane à prendre contact avec le chef de ce village.
Même s’il a perdu un pied, il ne regrette pas d’être allé en mission en Afghanistan. «Je suis vraiment fier d’être allé là avec mes chums et d’avoir aidé le peuple afghan», dit Frédéric Couture.
«Le peuple québécois ne comprend pas ce qu’on fait là-bas, ils ne comprennent pas car ils ne savent pas pourquoi on est là. On est là pour aider le peuple afghan et repousser les talibans. Les femmes ne sont pas acceptées dans les écoles, on essaie de changer ça. Le seul moyen de financement qu'ont les Afghans, c'est avec la drogue; l'opium et la marijuana. On essaie de changer ce mode de financement», poursuit-il.
Malgré ce qui lui est arrivé, Frédéric Couture retournerait en Afghanistan «sans hésitation».
