Yrys
Army.ca Veteran
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Robocop, quelqu'un ?
Le body hacking ou comment pirater son corps
http://www.radio-canada.ca/emissions/la_tete_ailleurs/2013-2014/chronique.asp?idChronique=320367
Cette semaine, le chroniqueur Alexandre Courteau s'intéresse au body hacking,
une pratique marginale qui risque de devenir de plus en plus courante dans les
années à venir. Body signifie corps, et hacking signifie pirater; le terme veut donc
dire pirater son corps. Les adeptes du body hacking s'implantent des puces,
des implants magnétiques et plein d'autres bidules technologies pour rendre
leur corps plus performant.
La fusion entre l'homme et la machine ne date pas d'hier. Le stimulateur cardiaque
et l'implant cochléaire pour les sourds pourraient être considérés comme les ancêtres
du body hacking.
Le body hacking à proprement parler fait son apparition en 1998 lorsque le scientifique
Kevin Warwick s'implante une puce RFID sous la peau. Cette puce lui permet de contrôler
à distance l'ordinateur, les portes, les lumières et les radiateurs de son laboratoire.
Quelques années plus tard, en 2002, il se fait greffer une grille de 100 électrodes au-
dessus du poignet lui permettant de contrôler un bras robotisé. Kevin Warwick promet
d'inventer une puce permettant à deux êtres humains de communiquer par télépathie
en 2015, rien de moins.
Il va sans dire que le body hacking soulève bien des questions éthiques. Mais, selon ses
adeptes, l'être humain n'est pas encore arrivé au bout de son évolution. Pour y parvenir,
la technologie doit s'en mêler.
Un livre intéressant sur le sujet :
Body hacking, de Cyril Fievet, éditions FYP (2012)
Forum consacré au Body hacking
AUDIO FIL
Chronique d'Alexandre Courteau : Le body hacking ou l'autogreffe d'implants
Le body hacking ou comment pirater son corps
http://www.radio-canada.ca/emissions/la_tete_ailleurs/2013-2014/chronique.asp?idChronique=320367
Cette semaine, le chroniqueur Alexandre Courteau s'intéresse au body hacking,
une pratique marginale qui risque de devenir de plus en plus courante dans les
années à venir. Body signifie corps, et hacking signifie pirater; le terme veut donc
dire pirater son corps. Les adeptes du body hacking s'implantent des puces,
des implants magnétiques et plein d'autres bidules technologies pour rendre
leur corps plus performant.
La fusion entre l'homme et la machine ne date pas d'hier. Le stimulateur cardiaque
et l'implant cochléaire pour les sourds pourraient être considérés comme les ancêtres
du body hacking.
Le body hacking à proprement parler fait son apparition en 1998 lorsque le scientifique
Kevin Warwick s'implante une puce RFID sous la peau. Cette puce lui permet de contrôler
à distance l'ordinateur, les portes, les lumières et les radiateurs de son laboratoire.
Quelques années plus tard, en 2002, il se fait greffer une grille de 100 électrodes au-
dessus du poignet lui permettant de contrôler un bras robotisé. Kevin Warwick promet
d'inventer une puce permettant à deux êtres humains de communiquer par télépathie
en 2015, rien de moins.
Il va sans dire que le body hacking soulève bien des questions éthiques. Mais, selon ses
adeptes, l'être humain n'est pas encore arrivé au bout de son évolution. Pour y parvenir,
la technologie doit s'en mêler.
Un livre intéressant sur le sujet :
Body hacking, de Cyril Fievet, éditions FYP (2012)
Forum consacré au Body hacking
AUDIO FIL
Chronique d'Alexandre Courteau : Le body hacking ou l'autogreffe d'implants